Aquaculture en Afrique: L’avenir du sous-secteur en discussions au Kenya

Naivasha, la ville touristique kényane accueille le 2ème Congrès Général du Réseau pour l’Aquaculture en Afrique (ANAF). Les acteurs de l’aquaculture qui prennent part aux travaux dirigés par l’Union Africaine, viennent de tous les pays africains. Plus d’une centaine, ils réfléchissent au rayonnement de leur secteur d’activité.

Objectif aquaculture durable 

Ces nouvelles assises de l’ANAF visent à exposer les principaux défis que le réseau s’est fixés pour les prochaines années mais également à renouveler le bureau exécutif et le comité directeur, conformément aux textes. Pour les responsables du Réseau, ce congrès marque une étape importante dans la promotion de l’Aquaculture en Afrique. Ils nourrissent l’ambition d’instaurer une dynamique nouvelle pour développer le sous-secteur sur le continent et renforcer sa contribution à la lutte contre la pauvreté, à la sécurité alimentaire et à la création d’emplois sur le continent.

L’ANAF en un mot

Le Réseau pour l’Aquaculture en Afrique (ANAF) s’est donné pour mission, de promouvoir l’Aquaculture à travers la recherche et les meilleures pratiques de gestion. Le creuset œuvre aussi pour une croissance durable du sous-secteur et sa reconnaissance en tant que levier essentiel de lutte contre la pauvreté et le chômage en Afrique. Et pour mieux atteindre ses objectifs, l’ANAF collabore avec des experts, chercheurs, acteurs de l’industrie, journalistes et autres parties prenantes. C’est ce qui explique par exemple la participation de l’observatoire des médias pour une pêche durable en Afrique (OMPDA) à cet événement en tant que « membre associé ».

Kiki T.