27 July 2024
Culture

Fespaco 2023 : Les films en lice pour l’Etalon d’or de Yennenga

  • 21 février 2023
  • 3 min read
Fespaco 2023 : Les films en lice pour l’Etalon d’or de Yennenga

C’est une série d’activités qui est initiée dans le cadre de la 28è édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco). L’événement  prévu pour se dérouler du 25 février au 04 mars 2023 propose cette année une programmation riche et variée qui, s’articule autour de projection de films, de colloques et rencontres. Retour sur les films en lice pour l’Etalon d’or de Yennenga…

Le cinéma africain donne à nouveau rendez-vous au Burkina Faso pour la 28e édition du Fespaco. Cette année, pour la période s’étalant du 25 février au 4 mars, quelque 170 œuvres vont se disputer les honneurs. Réparties dans 11 catégories, parmi lesquelles la fiction long-métrage, le court-métrage, le documentaire, les séries télé, les films d’écoles et les films d’animation, les œuvres vont illustrer la diversité et la créativité des professionnels africains du 7e art. Ceci cadre harmonieusement avec le thème retenu pour cette édition : « Cinémas d’Afrique et culture de la paix ». 

La Tunisie à l’honneur

Comme présidente du jury pour décerner l’Étalon d’or, le Fespaco a choisi la productrice tunisienne Dora Bouchoucha. Sur les 15 longs-métrages en course pour briguer l’Étalon d’or de Yennenga, la récompense suprême, le Cameroun et la Tunisie sont les pays les plus représentés avec chacun 2 films en compétition. Les autres sont originaires du Burkina, du Sénégal, d’Égypte, du Nigeria, du Mozambique, d’Angola, du Kenya, de l’île Maurice, du Maroc et d’Algérie. Un film de la République dominicaine a également été retenu. Le Fespaco, principal rendez-vous du cinéma en Afrique, se tient tous les deux ans à Ouagadougou. Chaque édition voit des films de tous formats entrer en compétition. Depuis 1969, date de sa création, il rassemble à Ouagadougou des dizaines de milliers de spectateurs et acteurs du milieu du 7e art.

Les 15 films retenus pour “l’Etalon d’or de Yennenga”

  • « La plantation des planteurs » de Dingha Eystein Young (Cameroun) ;
  • « Mon père, le diable » d’Ellie Foumb (Cameroun) ;
  • « Ashkal » de Youssef Chebbi (Tunisie) ;
  • « Under the fig trees » d’Erige Sehiri (Tunisie) ;
  • « Sira » d’Appoline Traoré (Burkina) ;
  • « Abu Saddam » de Nadine Khan (Egypte) ;
  • « Bantú Mama » de Ivan Herrera (République dominicaine) ;
  • « Mami Wata » de C.J.
  • « Fiery » Obasi (Nigeria) ;
  • « Maputo Nakuzandza » d’Ariadine Zampaulo (Mozambique)
  • « Our lady of the Chinese Shop » d’Ery Claver (Angola) ;
  • « Shimoni » d’Angela Wamaï (Kenya) ;
  • « Simin Zetwal/Regarde les étoiles » de David Constantin (Ile Maurice) ;
  • « The Blue Caftan/Le bleu du Caftan » de Maryam Touzani (Maroc) ;
  • « The Last Queen/ La dernière reine » de Damien Ounouri (Algérie) ;
  • « Xalé, Les blessures de l’enfance » de Moussa Séné Absa (Sénégal).

 

Jeannot Zomakpé

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